Soudain le vent emporte tout (S01.E06)

Je suis toujours à genoux avec ma queue qui glisse entre les fesses de Mathilde, qui se tient entre les jambes de son mari.
Je la penche en avant, ses bras lâchent les accoudoirs et elle finit sur les cuisses de son mari, le cul rebondit offert en arrière.

– Mathilde, écarte les genoux et cambre-toi bien.

Ils s’attendent a ce que je vienne prendre Mathilde qui attend à genoux.
mais non.
trop facile.
On va corser le tout.

Je fais un signe à Barbara et sors un accessoire de mon sac.
Elle le mets en place avec élégance, en se tordant un peu pour l’accrocher. (Adorable de voir une statue grecque au teint d’albâtre accrocher une ceinture équipée et devenir Apollon).

– Ouvre la pour moi ma soumise.

Barbara se met à genoux et introduit le silicone noir dans Mathilde qui crie de soulagement. En prenant appui sur les larges hanches de l’épouse, elle lui donne des coups de hanches de plus en plus fort.

Moi je suis à côté du lit et je le fais branler doucement par le cocu pour maintenir mon érection (très pratique, je recommande a tout le monde d’avoir un cocu dispo sous la main). Mathilde jouit une première fois.

– Cocu, il est l’heure que tu vois un mec qui bande défoncer ta femme, levez-vous tous les deux
Toi le mari, tu vas t’allonger en croix sur lit, la tete a l’envers, vers le bord du lit.
– Euh…pourquoi ?
– Déjà je vais t’attacher les poignets et les chevilles.
Et ensuite je vais baiser ta femme au-dessus de toi.
(Bouche bée le cocu)

J’attache donc le cocu au lit avec l’aide de Barbara et place sa femme juste au-dessus de lui
Ses gros eins pendent et touchent son ventre. On croit percevoir des tressaillements dans la queue molle de son époux. Par respect, elle lèche la goutte de sperme qui coule de son gland. Il est aux anges.

– A ton tour mon dominant.
– Toi ma soumise va t’assoir à la tête de lit les jambes écartées, tu seras bien.
– Elle va me lécher pendant que tu vas…
– Non, ferme les yeux et laisse-moi faire.

Je sors un nouvel accessoire et le fixe sur la tête de Mathilde. Un harnais de tête en cuir avec deux godes. Un petit que je mets dans la bouche et un grand … qui est une surprise !

Je me replace derrière le cul offert de Mathilde, au bord du lit et pénètre enfin la mère de famille. A chaque coup de hanche, Mathilde gémit de plaisir.
À chaque coup de hanches, Mathilde fait frotter ses seins attachés contre le corps de son cocu de mari. Ses auréoles ultra sensibles frottent et son cocu gémit de frustration contenue.
A chaque coup de hanches, Albert voit par en dessous ma queue défoncer le vagin humide de sa femme qui lui éclabousse le visage.
Enfin, à chaque coup de hanches, la tête de Mathilde avance et le gode entre d’autant dans le vagin ouvert de Barbara.
Chacun de mes mouvements à un impact sur les 3 en même temps.
(Putain je suis le maitre du monde)

La pièce est saturée de vibrations cérébrales de plaisirs. Tous nos cerveaux connectés sur le plaisir sexuel envoient des ondes de couleurs et le feu d’artifice est grandiose.

– Jouis Mathilde. Autorise toi à jouir… Albert est là à la place qu’il voulait. Tu es belle, jouis pour lui, jouis sur son visage, il a la bouche ouverte.
– Alex… c’est trop bon de te voir la prendre.

Mathilde affaisse soudain ses épaules et crie son plaisir. Le cul de Mathilde est toujours remonté sur le bord du lit et elle dégouline sa jouissance dans la bouche ouverte de son mari.

– Encore Mathilde ?
– Humm hummm
– Ah oui tu baise Barbara avec ta bouche.
Ouvre ta main si tu veux que je continue, sinon ferme le poing.

Les deux mains sont restées ouvertes.

– Regarde cocu … je vais recommencer.

Je donne un méga grand coup de hanche pour aller directement au fond et la faire crier.

Pour crier, elle crie !
Albert crie.
Barbara crie aussi.
(Cool j’ai des encouragements)
Je recommence donc.
Encore et encore.
Je pilonne et crie plus fort que tout le monde.

Quand je sens qu’elle est aux portes de la jouissance, je ralentis.

– Non pas si vite Mathilde… je veux que tu jouisses mais je vais contrôler tout cela aussi.
– Oh mon dieu c’est …
– Oui c’est mon pouce dans ton cul Mathilde.
– Oh mon dieu.
– Cocu, tu ne peux pas le voir mais mon pouce droit entre dans le cul de ta femme en même temps que ma queue entre dans sa chatte.
– Oh mon dieu.
– Et tu sais quoi cocu… il glisse tout seule… elle va adorer se faire prendre le cul ta femme.
– Oh mon dieu.

La queue d’Albert frémît quand il sent sa femme se contracter puis se relâcher pour jouir
Sa langue nettoie tout.
La chatte de sa femme, mes couilles aussi.
Barbara crie sa frustration et commence à m’énerver.

Je me retire de Mathilde.
Et change de capote.

– Toi tu cries un peu trop fort… attends tu vas le regretter.

Je la retourne sur la moquette et lui tiens les bras dans le dos
Et sors l’huile de coco prêtée par mon ami dominant Le tigre

(A suivre)