La dernière larme (S01.E07)

– Putain toi tu vas prendre cher ! Tu couines de trop, je vais te saturer ma soumise.
– Même pas cap.
– Cocu viens la…

Le cocu vient avec Mathilde et suis mes gestes quand j’écarte les fesses de Barbara attachée.

– Lèche lui l’anus Cocu !
– Nooon t’as pas le droit, gémit la princesse étudiante.
– J’ai tous les droits sur ton plaisir ma soumise. Savoure ce père de famille qui prépare avec sa langue ton petit trou. Détends-le bien car après je vais t’enculer d’un coup sec.

Visiblement le cocu aime beaucoup, d’autant plus que Barbara frissonne déjà.
Il lèche avec application pendant que je tends l’huile de coco à sa femme.

– Mathilde, mets de l’huile sur ton index et enfonce lui doucement dans son joli cul de Princesse.
– Euh…
– Obéis moi, il n’y a plus de honte entre nous et Barbara se le fait tous les matins au réveil.
– Aaaleeex !
– Ah mince tu ne voulais pas que je dise que tu te gode le cul toute seule ? (sourire)

Barbara me regarde d’un œil noir mais gémit et quand elle sent le doigt entrer en elle

– C’est bien Mathilde ! Tu vois …aucune douleur, comme toi tout à l’heure. Elle en a très envie et adore se faire prendre le cul. Elle y a le droit à chaque fois.
– C’est la première fois que…
– Positionne désormais mon gland devant son trou.

Mathilde rougit encore un peu mais je la sens toute excitée par tant de transgression.
Elle prend ma queue avec les doigts et le mets pile devant l’anus de Barbara

– Penche toi et regarde Mathilde, cela entre tout doucement. Ce n’est pas comme par devant. Une fois que le gland a passé la porte, il faut patienter pour que son corps s’habitue et me demande d’avancer.
– Bah alors ? et mon grand coup de queue, demande l’effrontée à 4 pattes ?
– Permets a ton domi de faire une leçon de sodo si tu veux bien (avec une bonne claque sur sa fesse droite).
– Aie…Brute !, au secours Mathilde, sauve moi, c’est un moooonstre.
– Ne l’écoute pas et va voir son visage, je vais m’enfoncer doucement en elle.

Mathilde va voir. En effet Barbara plisse un peu les yeux et ouvre la bouche en O.

– Tu n’as pas mal ? demande l’épouse.
– Nooon, j’adoooore cette sensation.

C’est trop intense pour elle, Barbara l’attend depuis un moment et jouit rapidement quand je m’enfonce. Elle jouit tout de suite, comme à chaque fois.

– Tu vois Mathilde, elle vient de jouir alors que je viens juste d’entrer. Je vais attendre, qu’elle profite de sa jouissance.
– Mais les autres hommes continuent dans les films…
– Pas dans le bdsm. Mon éjaculation n’a aucune importance. je ne suis pas là pour lui faire mal ou ne penser qu’à moi. L’important c’est son plaisir. A moi de temporiser pour lui en donner davantage.

Les deux femmes se tiennent la main, les visages collés l’une à l’autre.

– Ma soumise, tu vas compter de 10 jusqu’à zéro.
– Dix quoi ? Demande Mathilde.

La submersion anale de Barbara a commencé. J’enchaîne les sodomies et son corps ne devient plus que jouissances sourdes et tremblements. Elle égrène les nombres dégressifs de jouissances mais à partir de quatre ne parvient même plus à parler. Mathilde le fait pour elle.

Au bout d’un moment, tout n’est que sueur, cris et muscles tétanisés par l’effort.
Barbara me supplie d’arrêter, mais elle sait que je finis toujours les séries. Je lui demande si elle a mal. Elle fait non de la tête. Donc je finis les 10

(Pff…Je bois un peu de menthe à l’eau fraiche préparée par l’accessoiriste)
Le couple m’aide à la détacher, et puis à la soutenir pour aller jusqu’à la douche à l’italienne. Barbara semble vaciller sur ses jambes et Mathilde me regarde de nouveaux avec envie.
L’eau chaude décontracte tout le monde et apaise les corps.
Discrètement, Albert me dit un mot quand son épouse a le dos tourné et savonne doucement Barbara entre les jambes comme je lui ai demandé.

– Cocu m’a livré un petit secret que vous faisiez sous la douche avant votre mariage…
– Nooon pas cela Albert, supplie Mathilde.
– On a dit TOUS les plaisirs Mathilde, pour tout le monde.
…et chacun va marquer son territoire.

Comme ils avaient l’habitude de faire, Albert s’assoit sur le carrelage mouillé et Mathilde s’agenouille au-dessus de lui.
Le temps semble suspendu et Barbara m’interroge du regard.

Puis un petit filet jaune commence à couler de Mathilde sur le corps de son époux qui ouvre avec naturel la bouche.

A mon tour, j’urine sur les seins de Mathilde pour marquer mon territoire
Sans pouvoir s’en empêcher, Barbara nous rejoins et inonde la jambe de notre esclave.

En silence, tout semble naturel, quand l’épouse pisse dans la bouche son mari. Puis, quand Albert nettoie sa femme avec sa langue. Barbara lui tourne donc la tête pour qu’il nettoie aussi la dernière larme de pisse qui sort de ma queue.