Et le moteur vrombit (S01.E01)
LES PROTAGONISTES :
- Barbarra : soumise sexy pomponnée
- Alex : en route vers un club pour suspendre
- L’homme à la voiture
- Son épouse en escarpins
J’ai toujours eu du mal à passer la seconde avec cette voiture…fichue pédale d’embrayage. En plus, le soleil descend vite en Novembre et la pluie fine et les essuies glace permanents commencent à me lasser. Je monte cette côte, le moteur vrombit mais au changement de vitesse je cale comme un débutant devant cette voiture blanche arrêtée sur le bas côté. Barbarra pouffe et me demande si je lui fais le coup de la panne. Impossible de redémarrer.
L’homme à la voiture ouvre la portière.
– C’est gentil de vous arrêter. j’ai un pneu crevé et je n’arrive pas a desserrer les boulons
La bonne journée pourrie….
– Je me gare et j’arrive.
Barbarra est morte de rire.
– La chance…démonter une roue sous la pluie. tu m’excuses mais je reste dans la voiture sinon je vais détruire mon maquillage
– Princesse
– Totalement…
Je sors et suis tout de suite saisi par la fraîcheur de la température. Mon tee shirt de Punisher (pour faire dom en soirée) est un peu léger pour la saison mais j’ai pas envie de salir ma veste.
– Que vous arrive t il Monsieur ?
– Je suis handicapé et je n’ai pas la force pour remplacer la roue. Le dépanneur n’arrive pas avant longtemps et ma femme commence à avoir peur.
– Je vais vous aider (impossible de refuser).
Je me suis donc retrouvé quelques minutes après, accroupi dans le froid puis à genoux dans la boue, un cric à la main, avec Barbarra en train de se marrer au chaud.
Pas facile de changer une roue dans une pente…mais on ne refait pas son éducation.
Je peinais un peu et l’homme faisait ce qu’il pouvait pour m’aider en m’abrittant avec son parapluie. Un bruit de portière a claqué et des talons ont commencé à se faire entendre sur le bitume mouillé.
L’homme est marié et sa femme en bel imper est venu nous voir.
A genoux, je ne vois que ses beaux escarpins noirs, ses chevilles et ses bas.
– Merci beaucoup Monsieur de nous aider !
Je relève la tête pile au moment ou elle se penche. je suis dans l’axe parfait de son décolleté et je n’en crois pas mes yeux. 45 ans je dirai. Je crois l’avoir vu rougir.
– Albert, il fait trop froid…tu vas être malade, rentre mon chéri.
Je me retrouve donc seul avec elle et la jolie bourgeoise blonde sur escarpins commence a me faire la conversation…La soirée où elle ne pourrait pas aller à cause de la crevaison…Son mari qui est plus fragile depuis son accident…
Je finissais la roue mais je ne pouvais m’empêcher de regarder ses chevilles en équilibre … et ses jambes cachées par un imperméable que j’ai trouvé sur l’instant beaucoup trop long.
– Vous êtes vraiment trop gentil. Vous savez qu’au moins 5 voitures sont passées sans s’arrêter et la dépanneuse n’était pas libre avant je ne sais quand.
J’ai fini et je range le cric dans le coffre. j’ai les mains noirs et mon punisher a de grosses trainées sales. Mon pantalon est tout crotté et le haut trempé par un mélange de pluie et de sueur.
– Vous êtes si gentil… Mais vous êtes tout sale…nous habitons tout près. Venez, vous allez pouvoir vous changer chez nous.
J’ai une faiblesse… j’ai du mal à refuser quoi que ce soit a une mère de famille a lunettes, aux gros seins et en talons hauts.
Je préviens Barbarra qu’on allait faire un détour au chaud et que la mère de famille était jolie et rougissait quand je le regardais. Barbarra a pris le volant et j’ai fait les quelques kilomètres les bras en l’air pour ne rien toucher. Nous avons suivi la voiture blanche avec sa roue neuve jusqu’à leur maison isolée dans les bois.
Le couple ouvre sa porte et nous courrons pour nous abriter. Albert et son épouse nous invitent à entrer rapidement.
Salutations protocolaires…
Alex bonjour…je ne touche à rien.
Barbarra bonjour…non je ne suis pas sa nièce (La jupe courte de Barbarra fait son effet chez les bourgeois),
Albert bonjour…vraiment c’est tres gentil,
Mathide bonjour…venez avec moi vous doucher et vous changer (gênance, elle rougit, Barbarra sourit).
– Je vous suis. Barbarra, sois obéissante, viens avec moi, je vais avoir besoin de toi pour me déshabiller
LES COULISSES DE L’EPISODE :
Il pleuvait tellement que la robe de Mathilde collait à sa poitrine et on voyait ses tétons pointer
