Amour ouf (S01.E08)
LES PROTAGONISTES :
Barbara, qui boite un peu du uc
Mathilde, souilleuse sous jet lavant
Albert, lavé rincé
Alex, pervers érotomane et libidineux
Résumé des épisodes précédents : Barbara a été submergée par le cul, et tout le monde s’est retrouvé sous la douche pour une séquence uro d’anthologie.
La douche nous a fait du bien.
Il est tard et les femmes ont envie de dormir. Moi aussi.
Nous n’allons pas repartir dans le froid humide et restons dormir dans le lit du cocu
– Mathilde, tu vas pouvoir dormir nue entre nous deux, comme cela si on a envie de te caresser dans ton sommeil, on pourra parcourir ton corps
Non cocu… tu ne vas pas dormir avec nous. Prends une couverture et va dormir dans Le fauteuil en face du lit.
Je te promets, je retirerai le drap pour que tu me vois baiser ta femme dans son sommeil.
Cela te va ?
– Oui, Monsieur.
Il est tard, et tout le monde est fatigué. La princesse Barbara finalement préfère dormir dans mes bras et je me retrouve comme un pacha au centre du lit. Nous nous endormons rapidement.
Visiblement, je suis le premier réveillé une heure après. Je touche du bout des doigts les courbes de Mathilde puis celles de Barbara. Non… Je n’ai pas rêvé, c’est bien réel.
Je me lève sans bruit et vais réveiller Albert pour lui chuchoter à l’oreille.
– Cocu, branle-moi doucement pour faire bander ma queue. J’ai envie de prendre ta femme dans son sommeil.
Il s’exécute doucement dans le l’obscurité et pousse la serviabilité jusqu’à m’enfiler un capuchon en plastique, puis à l’humidifier avec la bouche.
Barbara s’est réveillée et je viens me coller derrière elle, en cuillère. Je lui fais signe de se taire et d’accepter mon corps en elle en silence.
Elle a l’habitude des pénétrations nocturnes toute douces et nous bougeons à peine. Albert, quant à lui, a eu le droit de se mettre debout pour regarder de plus près nos corps à peine bouger pendant que Mathilde dort encore.
La jouissance de Barbara ne laisse même pas sortir un son. Elle se contracte puis se relâche et je reste tout dur en elle pour lui offrir deux plaisirs supplémentaires en silence.
Je suis excité et descend du lit pour en faire le tour. Je m’allonge ensuite derrière Mathilde qui semble toujours dormir. Je teste avec le doigt son entrejambe pour ne pas la forcer. Tout est ouvert, humide et à disposition.
Délicatement, j’entre dans son corps sans la secouer, pour la garder dans son sommeil. Je ne bouge pas, je gonfle et dégonfle mon sexe en elle. Son corps reste endormi. Elle continue à rêver et je viens de faire entrer une sensation de plaisir dans son rêve.
Barbara ne peut s’empêcher de venir lui embrasser doucement les tétons. J’ai ouvert le drap pour qu’Albert voit tout. Sans le réveiller, mon corps lui donne du plaisir et Mathilde …commence à parler dans son sommeil
– Albeeeert (dans un soupir)
– Je suis là mon amour, chuchote le mari.
– Albeeert
– Je t’aime, je t’aime.
Je serre la main d’Albert pour être en connexion avec lui, en ce moment paradoxal, où tout se mélange, et où ils revivent leur sexualité par procuration. Elle croit que son mari lui donne du plaisir et c’est beau d’être son instrument.
Barbara s’écarte naturellement pour laisser la place à Albert, pour qu’il s’allonge face a elle. Il sera le premier qu’elle verra en se réveillant.
Elle jouit enfin …et ouvre les yeux, vois son mari et l’embrasse de bonheur.
Je suis resté en Mathilde, et la possède désormais avec de beaux coups de hanches contre son superbe cul. Le cocu est retourné à sa place, dans son fauteuil. Elle jouit si fort que quelques voisins ont dû se réveiller. Fatiguée, elle demande une pause
– Mathilde, veux-tu essayer la sodomie, tout doucement, dans cette position, sur le côté ?
– J’ai un peu peur…
– Mon amour, on en a souvent parlé…
– Parler de quoi ? Demande Barbara.
– Je crois que le cocu a une envie secrète… Va me chercher ton gode ceinture. Est-ce que je me trompe Mathilde ?
– Vous allez me rendre folle.
C’était la soirée des découvertes, maintenant cela va être la nuit de tous les dépassements
Barbara équipe Mathilde de son accessoire et nous passe l’huile de coco. Albert s’allonge sur le côté devant son épouse et lève une fesse avec sa main.
Mathilde, avec naturel et douceur, reproduit un geste familier pour eux et enfonce son doigt en lui. Je fais de même derrière elle avec son petit trou.
J’entre le premier en elle et la pousse légèrement en avant, elle entre en lui avec le mouvement.
Nous ne bougeons pas beaucoup, restons presque immobiles, Chacun respecte les nouvelles sensations de l’autre. Instant de grâce transgressif. Même Barbara se tait (à moins qu’elle se soit rendormie)
Personne ne crie, juste deux petits gémissements. Personne ne veut rien forcer et le frisson de la transgression parcoure le lit.
Mathilde prend son mari et, en mettant temps, je lui possède le cul… emboîtement anal avec une femme au centre.
– Je t’aime Albert.
– Je t’aime mon amour… prends moi plus fort.
– Barbara vient m’embrasser (Tiens, elle ne dormait pas) et me chuchote a l’oreille.
– Alex… le cocu commence à bander
(A suivre)
Les coulisses de l’épisode : Barbara ronfle et s’en est presque gênant et j’ai du mal à dormir sur béquille.
